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Souvenez-vous de Lukas Graham. Le groupe danois s'est fait connaître en 2016 avec leur tube 7 Years, qui cumule aujourd'hui plus d'un milliard de streams dans le monde. Ils sortent aujourd'hui une nouvelle édition de leur dernier opus 3 the purple album (sorti en octobre 2018) comportant 3 titres live en bonus (7 Years, Love someone et You're not the only one) enregistrés lors de leur concert à Paris au Bataclan le 19 avril dernier 2018.

Trois ans après la sortie de son premier album, Wanted on voyage, certifié disque d'or, il revient avec un second long format, inspirant rêves et voyages à l'image de son single et premier extrait, Paradise. Tout comme son prédécesseur il a été composé et inspiré de différents voyages : dans les îles de Skye, dans les fermes de Norfolk et au Pays de Galles pour terminer dans le Airbnb de Tamara (celle du titre de l'album) à Barcelone. Un voyage inspirant qui nous offre un album plein d'optimisme et d'entrain.

Unfollow the rules est le 9e album studio de Rufus Wainwright. Il inclut les versions françaises de Pièce à vivre (Peacefull Afternoon) et Haine (Hartred) écrites par Renan Luce. Il combine les meilleurs éléments des albums précédents, tous encensés par la critique. C'est le disque de la maturité qui impose Wainwright comme l'un des meilleurs chanteurs et auteurs/compositeurs de tous les temps. Les styles musicaux et les goûts peuvent changer, mais quel que soit le genre, le coeur de chaque chanson trahit le talent du compositeur lui-même, et il est incontestable que Rufus fait partie des plus grands. Avec cet opus, il abandonne la sphère musicale pleine d'angoisse, de démons, de drogue et de débauche de sa jeunesse, la splendeur baroque, et laisse la place à la voix adulte considérant la vie d'un père, d'un mari et d'un citoyen du monde impliqué. Unfollow the Rules n'est pas aride, cela reste un album à la Wainwright fourmillant d'idées musicales, mais dont l'exubérance et la richesse sont canalisées et essentielles sans tout submerger.

Sixième opus pour la chanteuse aux 42 millions d'albums vendus !

Avec sa pop tourbillonnante, le jeune garçon s'inspire de Neil Hannon et sa Divine Comedy ainsi que de Stephen Merritt et ses Magnetic Fields, piochant aussi bien dans l'oeuvre de Proust que dans des romans sentimentaux. Ce désir de parler d'amour dans le fond s'est accompagné de celui de chercher l'efficacité dans la forme : il est allé dénicher dans les disques de Tom Petty, Fleetwood Mac ou R.E.M la recette du morceau pop imparable.

Avec son premier album, le groupe anglais conforte les attentes et le succès critique générés par ses premiers EPs, Carter et Grand union, divulgués au compte-goutte et dans le plus grand mystère. Enregistré dans leur studio et une fois de plus auto-produit, le disque enchaîne des compositions d'orfèvres magnifiquement spacieuses et pourtant intimes. Les voix d'Orlando Leopard et Ella Girardot se croisent et s'entrelacent, le charme opère, sinueux.

Après plus de 200 dates, et un premier album disque d'or, Rover est de retour. Voix aérienne et silhouette à la carrure colossale, ses chansons résonnent de manière intemporelle et universelle. Ce deuxième disque est gorgé de chansons cristallines ou rocailleuses, il parle de nouveau chapitre. Rover écrit la nuit, souvent, et enregistre sur bandes. Il a réalisé l'album lui-même, l'a enregistré dans un studio breton, Kerwax, avec des amplis aux lampes capricieuses, des instruments qui sonnent différemment selon la météo ou l'heure de la journée. Let it glow est un disque non pas de son époque mais pour son époque. C'est Bowie, Lennon et tous ceux qu'on voudra bien retrouver. Et sa musique, très vite, écrase les facilités. Est-elle pop, est-elle rock ? On ne sait pas et à vrai dire, on s'en moque !

Slow summits est l'aboutissement des nombreuses expériences que le groupe a entrepris depuis la parution de son dernier véritable album, Illumination en 1997. A la fois tourné vers le futur sans renier le passé, ce recueil de pop songs imparables chantées tour à tour par Katrina Mitchell et Stephen McRobbie ne laisse aucune place au doute : Les Pastels sont de retour ! Enregistré à Glasgow par John McEntire, l'album réuni le line up central des Pastels ainsi que des invités tels Annabel Wright (membre du groupe d'origine), Norman Blake et Gerard Love, Stefan Schneider et Ronald Lippok (To Rococo Rot) et le groupe japonais Tenniscoats.

Sophie est une chanteuse, multi-instrumentiste et compositrice de films basée à Berlin. Le jazz et le folk font partie intégrante de son style d'écriture.

Au milieu des années 60, elle quitte son école d'art pour se concentrer sur la musique. Elle est découverte par Andrew Loog Oldham, le gourou des Rolling Stones. Ce dernier la fait signer sur Decca et enregistrer un single écrit par Mick Jagger et Keith Richards. Certains la décrivent comme la "nouvelle Marianne Faithfull" ou la "version féminine de Bob Dylan". Les dix chansons présentes ici ont pour la plupart été enregistrées dans son homestudio et la pochette est réalisée, encore une fois, par sa fille.

Chanteur, compositeur, guitariste et arrangeur accompli, il est avant tout connu pour avoir écrit le tube de Norah Jones, Don't know why et pour lequel il a été récompensé par le Grammy Award de Chanson de l'année. Il a aussi enregistré un certain nombre de ses compositions avec d'autres artistes de renom comme Smokey Robinson, Willie Nelson, Cat Power, Solomon Burke et Emmylou Harris. Mais en leader Jesse Harris a aussi enregistré plus d'une dizaine d'albums. Celui-ci est le fruit de son obsession pour la musique brésilienne notamment celle des années 60 et 70 ; ainsi il est venu à Rio de Janeiro avec ses compositions et aidé par les meilleurs musiciens du cru a donné à sa musique folk-pop la brillance du soleil tropical. A noter la participation de Vinicius Cantuaria, de Bill Frisell, de Norah Jones et de Mélody Gardot qui chante en français sur Tant pis, un titre inspiré par des chansons de Serge Gainsbourg des années 60.

Une des porte-parole de la nouvelle scène folk londonienne aux côtés de Mumford & Sons et Noah & The Whale, présente ici son troisième album. Influencée par Joni Mitchell, Cat Power ou Aimee Mann, elle fait ses débuts en ouvrant à Londres pour les Moldy Peaches en 2007, et c'est en première partie de Neil Young qu'elle est apparue sur scène en France !

Le groupe de Copenhague poursuit son histoire marquée par 30 ans de trash métal.

L'ex-tête pensante de Sonic Youth est de retour quatre ans après la sortie de son premier opus sur Matador, Demolished thoughts. The dest day a été enregistré aux côtés de Steve Shelley (Sonic Youth) à la batterie, James Sedwards (Nought) à la guitare, et de Deb Googe (My Bloody Valentine) à la basse. Cet album est un mélange de compositions électriques et de ballades acoustiques, mais les fans de Sonic Youth ne seront pas deçus.

Les quatre garcons de Brooklyn avaient été très remarqués avec leur premier album Light up gold et avaient reçu des chroniques élogieuses pour leur originalité et leur énergie brute. Sunbathing animals a été créé dans une année de tournées intensives, interrompues seulement par trois sessions d'enregistrements qui ont permis la naissance de l'album. Ce temps passé en transit forme leurs paroles qui abordent les thèmes du déplacement, du doute et de la situation de captivité. Ce n'est pourtant pas un disque sur le désespoir mais plutôt sur la compréhension de la liberté et de la tranquillité que toute captivité pose. Les Parquet Courts sont ici à la croisée de The Fall, Neil Young, Pavement ou même Modern Lovers.